John Taylor est un britannique de 69 ans, aujourd'hui qui s'est rendu compte qu'il avait besoin d'uriner beaucoup plus souvent que d'habitude : " Je me levais pour uriner trois fois par nuit. Et comme mon travail de géomètre-expert m'obligeait à parcourir beaucoup le pays, j'avais l'impression de connaître toutes les toilettes publiques de Grande-Bretagne, car je devais constamment y aller – c'était ridicule", témoigne-t-il auprès du Telegraph. A l'époque, il n'a que 57 ans et son médecin généraliste ne s'alarme pas. Mais ce signe révèlera un cancer de la prostate. Ses symptômes s'accentuent et il demande à faire un test de l'antigène prostatique spécifique (PSA) lors d'un prochain rendez-vous, ce que son médecin lui refuse, persuadé que ce n'est pas nécessaire. Le mois de juin suivant, alors qu'il passe des examens pour tout autre chose avec une autre équipe médicale, il reparle de la fréquence à laquelle il urine : "Je passe un contrôle médical annuel par le NHS, à l'hôpital Broadgreen, car j'ai eu un problème cardiaque il y a des années. Lors de la consultation, j'ai parlé de mes symptômes à mon médecin. Il m'a dit qu'il me ferait un test PSA en même temps qu'il faisait d'autres analyses sanguines. Il a été le premier à me parler correctement du PSA ." Censé être inférieur à 3, son taux de PSA est de 27.
Les symptômes qui peuvent être liés au cancer de la prostate
Il raconte que moins d'une semaine après son résultat de PSA, (...)
Trois nutritionnistes alertent : ce plat en supermarché qui paraît sain est en fait "potentiellement cancérigène"
Centenaire, elle confie "bien manger, bien dormir et bien vivre", mais elle n'a jamais touché à cette boisson
Cacio e pepe : ce plat de pâtes (plus sain que les carbonara) fait fureur en Italie cet été
Cancer du colon : un médecin met cet aliment inattendu sur liste noire
Ce fruit d’été est le premier choix d'un gastro-entérologue pour des intestins en pleine forme
Comments