En avril, une enquête du magazine "ELLE" mettait en lumière le témoignage choc de quatre anciennes conjointes de Jean Imbert qui l'accusaient publiquement de violences domestiques. Parmi elles, une dénommée Eléonore qui est en réalité l'ancienne Miss France Alexandra Rosenfeld comme elle l'a confirmé dans une bouleversante publication Instagram partagée ce mardi 19 août 2025. Une courageuse prise de parole saluée par des milliers d'internautes...
Une affaire très médiatisée qui continue de faire couler beaucoup d'encre... En avril 2025, les équipes du magazine ELLE dévoilait une enquête sur le célèbre chef étoilé Jean Imbert accusé de violences conjugales par quatre de ses ex-compagnes. Les journalistes avaient alors rapporté plusieurs témoignages qui évoquaient principalement des violences physiques et psychologiques. Dans ce dossier particulièrement brûlant, une dénommée Eléonore - dont le prénom avait été modifié - avait confié que la star des fourneaux lui avait fracturé le nez en plus de lui asséner "un coup de tête" alors qu’ils étaient ensemble
"Il (a) réussi à me casser, à faire de moi une serpillière", avait assuré la jeune victime qui a fini par rompre avec lui. A l'hebdomadaire pour livrer sa vérité, Jean Imbert avait transmis "deux attestations d’hommes" qui auraient été témoins de scènes de violence de sa part le 28 avril 2014 et le 14 mai 2014 alors que leur romance touchait à sa fin. S'il s'était défendu d'autres faits quant aux autres plaignantes, l'intéressé avait bel et bien reconnu ce coup de tête, qu’il "regrettait". Selon les proches de l'ex-star de Top Chef, cette dernière lui aurait asséné "deux gifles et un coup de pied", actes qu’elle avait toutefois contestés. Mais contre toute attente ce mercredi 19 août 2025 sur Instagram, Alexandra Rosenfeld a révélé qu'il s'agissait bel et bien de son témoignage.
Voir cette publication sur InstagramUne publication partagée par Alexandra Rosenfeld (@alexandrarosenfeld)
Alexandra Rosenfeld brise le silence, elle dit avoir vécu l'enfer avec Jean Imbert
Celle qui a décidé de prendre la parole à visage découvert est revenue au travers de son clavier sur leur histoire marquée par des violences en tous genres. "Il y a plus de dix ans, j'étais avec quelqu'un. Il m'a mis un coup de tête, une fois. Mais bizarrement, ce n'est pas ça qui m'a marquée. Ce qui m'a abîmée, c'était tout ce qu'il y avait autour. Le mépris, les rabaissements, les silences, les mots parfaitement placés pour me faire douter de moi, de ma valeur", a rapporté l'ancienne reine de beauté tout en partageant des informations de ses examens médicaux pour appuyer ses dires. C'était lent, insidieux... l'emprise. Je ne savais même pas que ça s'appelait comme ça. Je croyais que le problème, c'était moi".
Par amour et étant dans une grande détresse à l'époque, Alexandra Rosenfeld est longtemps restée - bien malgré elle - prisonnière de cette relation toxique. "J'ai réussi à partir quand il s'est tourné vers une autre. Je ne servais plus à rien. Il m'a enfin laissée partir", a ajouté l'ex-épouse de Sergio Parisse qui souhaite désormais être en accord avec elle-même. "Quand j'ai essayé d'alerter, de parler, j'ai vu les regards se fermer. Je suis devenue l'ex jalouse. Alors, j'ai continué ma vie. J'ai mis de la distance. Du silence. J'ai pardonné. Je l'ai pardonné. Je me suis pardonnée".
"Ce qu'il a répondu est faux"
L'heureuse maman de deux enfants qui file désormais le parfait amour avec le journaliste Hugo Clément affirme également que Jean Imbert l'aurait contactée en début d'année pour une raison bien spéciale : "En janvier dernier, il m'a envoyé une invitation à Disney, pour ma famille et moi dans son nouveau restaurant. J'étais surprise, très touchée. Je l'ai remercié chaleureusement. Je lui ai souhaité une très belle année. Sur le moment, j'ai voulu y voir un geste de paix, une marque d'élégance... Mais plus tard j'ai compris. Cette invitation, ce message bienveillant, n'étaient pas si innocents. Il savait qu'un article allait sortir. Il avait contacté plusieurs de ses ex sous prétexte de prendre de leurs nouvelles (...). Mais il cherchait à savoir. A anticiper, à contrôler le récit (...). J'ai compris que ce n'était pas de la sympathie qu'il voulait. C'était du silence".
Quelques mois plus tard, la mère de famille a alors été approchée par "des journalistes" qui cherchaient à recueillir son témoignage. "Après une grande réflexion, j'ai dit oui. Pas contre lui. Pas par vengeance. Mais pour elles. Pour nous. On m'a appelée Eleonore. C'était un faux nom, mais ce que j'ai dit été vrai. Sa défense autour de ce nez fracturé a été de dire 'qu'il se défendait'", a précisé Alexandra Rosenfeld. "Ce qu'il a répondu est faux. Et les personnes présentes ce jour là le savent (...)". Pour son histoire, "il n'y a pas de plainte, pas de procès". "C'était il y a plus de 10 ans et même si j'ai toujours cette radio... Ce qui nous a abîmées, ne se voit pas. Alors comment le juger (...). Je ne suis pas Eleonore, je suis Alexandra et maintenant je parle", a ainsi conclu la star. Une prise de parole qui a fait réagir des milliers d'internautes à l'instar de l'animatrice Marie Portolano qui a d'ailleurs relayé sa bouleversante publication sur ses réseaux au même titre que Lila Salet, l'une des accusatrices de Jean Imbert qui fut l'une des premières à prendre la parole à son sujet.
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